Les petites villes constituent la base de la hiérarchie urbaine. Elles incarnent une centralité d’influence locale, associée à des mobilités de proximité, très majoritairement fondées sur l’usage de la voiture individuelle. Fragilisées par la métropolisation au niveau de leurs équipements et de leur offre en services et commerces, beaucoup de petites villes sont confrontées à de réelles difficultés, voire à des situations de décroissance urbaine, quand d’autres restent ou redeviennent attractives. Dans tous les cas, elles sont généralement marquées par le vieillissement de leurs populations. Ceci s’explique par des mobilités résidentielles relevant à la fois du départ des populations les plus jeunes – pour l’accès à la formation ou à l’emploi dans les villes plus importantes – mais également parfois de l’arrivée de personnes âgées dans le cadre de migrations de retraite. Les petites villes connaissent toutefois des trajectoires très contrastées, avec des degrés différenciés de déprise ou d’attractivité selon les contextes territoriaux.

Petites villes et mobilités dans un monde métropolisé

Si les métropoles et les grandes villes se caractérisent par l’importance et la polarisation des mobilités (exode rural, mobilités internationales, mobilités quotidiennes, etc.), les petites villes s’associent à des formes de mobilités a priori moins structurantes ou en tout cas moins visibles, au point d’incarner avant tout des logiques d’ancrage et de proximité (Berroir et al., 2017 ; Édouard, 2008 ; Mainet, 2008). La petite ville n’en constitue pas moins une centralité d’influence locale pour les espaces qui l’environnent (Dubuc, 2014 ; Édouard, 2019). À ce titre, elle s’associe à une grande diversité de mobilités de proximité, que ce soit pour le travail, l’accès aux commerces ou aux services de base. Ces mobilités sont très largement automobiles (Berroir et al., 2017 ; Lejoux, 2017), les transports en commun y étant très peu présents ou limités à des réseaux de bus locaux ou des taxis collectifs (Biville, 2017 ; Michel et Ribardière, 2016). Les petites villes peuvent également être concernées par des mobilités internationales, en faisant notamment l’objet de politiques d’accueil pour des populations réfugiées (Gardesse et Lelévrier, 2021). C’est ce qu’illustre le documentaire « Se sentir chez soi »[1], suivant le parcours de deux jeunes d’origine kurde syrienne dans la petite ville de Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir), comptant un peu moins de 10 000 habitants. Il s’agit d’un témoignage sensible de deux jeunes réfugiés qui s’approprient une petite ville où ils n’ont pas grandi, y parlent de leur arrivée en tant que migrants et de leurs pratiques quotidiennes de mobilité, certes souvent contraintes, mais aussi associées à des visions plus nuancées, en termes de qualité de vie et de liens de proximité, faisant notamment écho aux travaux menés en sociologie sur ces questions (ibid.).

En France comme dans la plupart des pays développés ou émergents, la métropolisation a largement fragilisé l’influence locale des petites villes, par le regroupement des fonctions centrales, commerces et services supérieurs dans les villes les plus importantes (De Bercegol et Gowda, 1997 ; Laborie, 1997 ; Zérah et al., 2021). Cette disparition d’équipements dans les petites villes, en particulier dans le domaine des soins, des commerces et services de proximité, peut être reliée à une logique de décroissance urbaine, marquée notamment par des mobilités résidentielles à destination de villes plus importantes (Cauchi-Duval et al., 2017 ; Gourdon et al., 2019 ; Wolff et al., 2013). En effet, comme beaucoup d’espaces ruraux, les petites villes voient partir certaines de leurs populations les plus jeunes (étudiants, jeunes actifs…) pour accéder à des structures de formation et à des emplois plus diversifiés et souvent mieux rémunérés. Ces migrations expliquent en partie le vieillissement parfois prononcé de la population des petites villes (Aouci et Nowik, 2021 ; Zaninetti, 2011). Pour les personnes âgées, caractérisées par leur moindre mobilité, le maintien ou la recréation de services et de commerces de proximité constitue un enjeu de premier plan. Au-delà des seules personnes âgées, la population des espaces environnants dépend aussi fortement des petites villes pour accéder aux équipements de base, impliquant des mobilités automobiles quotidiennes (Édouard, 2019 ; Jousseaume et Talandier, 2016 ; Lejoux, 2017). Dans ce cadre, les petites villes les plus isolées et les plus éloignées de villes plus importantes sont souvent caractérisées par la présence et la combinaison de plusieurs équipements, services et commerces de base (voir infra), alors que les petites villes périurbaines se voient parfois trop fortement concurrencées par la ville voisine pour parvenir à maintenir une offre de proximité suffisamment dense et diversifiée (Berroir et al., 2017 ; Dubuc, 2014).

Si beaucoup de petites villes sont fragilisées et connaissent des processus de dévitalisation ou de déprise urbaine, des petites villes localisées dans des régions attractives, bénéficiant d’aménités paysagères ou patrimoniales, et d’un maintien d’équipements de proximité peuvent connaitre un certain regain d’attractivité. Celui-ci s’incarne notamment par des mobilités touristiques, en lien avec le développement du tourisme vert dans les espaces ruraux (Biville, 2017 ; Ouellet, 2021 ; Sanjuan et al., 2017) : la petite ville constitue alors une polarité pour son offre d’hébergements touristiques et de restauration, en lien avec un patrimoine urbain parfois protégé et labellisé. Associées dans les représentations à une certaine qualité de vie (calme, proximité avec la nature, interconnaissance et solidarités locales, etc.), certaines petites villes connaissent un ralentissement des départs, voire une arrivée de nouvelles populations, telles que les jeunes actifs en reconversion ou pratiquant le télétravail, les bi-résidents ou encore les personnes retraitées (Dubuc, 2004 ; Édouard, 2019 ; Zaninetti, 2011). Les petites villes concernées bénéficient en général d’un niveau correct d’équipements de base (notamment en termes de commerces de proximité et de services de soin) et d’une bonne intégration facilitant les mobilités (proximité autoroutière, présence d’une gare…). La diversité des contextes territoriaux invite ainsi à nuancer et à différencier les trajectoires des petites villes.

Penser, mesurer et différencier les petites villes : un regard sur la recherche

Si l’étude des petites villes a initialement été limitée aux travaux de géographie rurale, elle s’est largement diffusée dans le champ de la géographie et de l’aménagement, les petites villes étant de plus en plus envisagées comme des observatoires des transformations urbaines contemporaines en contexte non-métropolitain (De Bercegol et Gowda, 2017 ; Demazière, 2017 ; Édouard, 2008). Les travaux de recherche sur les petites villes partent en général du constat de la difficulté des seuils de définition de cet objet et invitent à relativiser ces seuils selon les contextes territoriaux : ainsi, si les petites villes chinoises comptent moins de 500 000 habitants (Sanjuan et al., 2017), les petites villes indiennes en comptent moins de 100 000 (Zérah et al., 2021). En Europe, des travaux comparatifs sur les petites villes européennes retiennent un seuil commun compris entre 10 000 et 50 000 habitants (Gourdon et al., 2019), mais les seuils varient selon les contextes nationaux. En Allemagne, la catégorie des petites villes s’applique aux agglomérations de moins de 30 000 habitants (Grésillon, 2020). En France, la délimitation des petites villes françaises oscille selon les travaux, entre des seuils bas variant de 2 000 à 5 000 habitants et des seuils hauts situés entre 20 000 et 30 000 habitants, à l’échelle de la commune ou de l’unité urbaine (Kayser et al., 1972 ; Laborie, 1997 ; Édouard, 2012).

Au-delà de la question des seuils, la plupart des travaux sur les petites villes insiste sur leur rôle de centralité locale pour un territoire environnant souvent marqué par la ruralité (Chaze, 2017 ; Dubuc, 2004). En effet, s’il existe des « petites » communes de banlieue ou des « petites » communes périurbaines (Berroir et al., 2017), celles-ci ne sont considérées comme des petites villes que si elles constituent une centralité locale associée à une certaine zone d’influence, et donc à des mobilités en direction de cette centralité. Dans le contexte français, H. Mainet (2008) considère ainsi que le rayonnement des petites villes se situe en général entre 10 et 20 kilomètres. V. Jousseaume et M. Talandier (2016) se fondent quant à elles sur la présence de certains équipements (lycée, établissement hospitalier de court séjour, hypermarché) pour caractériser la centralité des petites villes et leur attractivité pour les espaces environnants.

Les interactions villes-campagnes – et les flux et mobilités qui leur sont associés – constituent ainsi un premier angle de recherche sur les petites villes (Demazière, 2017 ; Dubuc, 2004 ; Édouard, 2019 ; Matthieu, 2017 ; Michel et Ribardière, 2016). Une deuxième entrée concerne plutôt la fragilisation des petites villes, à travers l’étude de processus de déprise et de décroissance urbaines (Cauchi-Duval et al., 2017 ; Gourdon et al., 2019 ; Wolff et al., 2013). Les enjeux de patrimonialisation des petites villes, en lien notamment avec le développement de mobilités touristiques, constituent un troisième angle d’analyse des petites villes (Biville, 2017 ; Ouellet, 2021).  On pourrait enfin évoquer une quatrième entrée centrée sur les enjeux de durabilité ou de transition énergétique dans les petites villes, en lien avec la décroissance démographique et les migrations hors des petites villes (Miot et Rousseau, 2017) ou en lien avec les mobilités quotidiennes et la dépendance automobile (Férérol, 2016 ; Lejoux, 2017).

Petites villes et mobilités en débats

Dans un contexte international de renforcement croissant des métropoles, les petites villes peuvent être associées à des logiques de mise à l’écart ou de subordination aux logiques métropolitaines. On parle ainsi d’« urbanisation subalterne » (Zérah et al., 2021) en Inde, ou encore de degrés différenciés de « périphérisation » (Roth, 2016) dans le contexte allemand. Certaines analyses peuvent toutefois se voir caricaturées par les médias et certains travaux, comme en France, où l’approche des petites villes a pu être parfois cantonnée au prisme de catégories fixistes et simplificatrices, telle que la « France périphérique ». Celle-ci est censée incarner un exode forcé des classes populaires hors des métropoles vers les petites villes, mais aussi les villes moyennes, les espaces périurbains ou encore les espaces ruraux ; tous seraient marqués par un abandon de la part des pouvoirs publics et des mobilités contraintes et subies. Ces analyses ont été profondément critiquées par les chercheurs pour leur caractère univoque, englobant et simplificateur, gommant la diversité des situations locales (Béhar et al., 2018 ; Charmes, 2014 ; Gintrac et Mekdjian, 2014). De fait, les petites villes ne sont pas toutes marginalisées et l’attrait pour la ruralité ou le développement du tourisme vert peuvent même, à l’inverse, conduire certains travaux à envisager les petites villes comme des espaces attractifs et relativement dynamiques (Biville, 2017 ; Dubuc, 2004 ; Édouard, 2019). Avec le même souci de nuance, les travaux portant sur les petites villes en décroissance insistent sur la grande diversité des situations au regard, d’une part, des contextes territoriaux, et d’autre part de l’intensité des fragilités démographiques, sociales ou économiques. Ces travaux identifient ainsi des trajectoires différenciées selon les petites villes, plus ou moins concernées par les processus de décroissance urbaine (Gourdon et al., 2019 ; Wolff et al., 2013). Les petites villes constituent ainsi un objet complexe et pluriel.

[1] Accès au documentaire en ligne : https://www.youtube.com/watch?v=RXD0hu-V4WI. Documentaire réalisé par Anaïs Béji et Antoine Torre, avec la participation de Marie Duchêne, Félicie Mortier et Martin Valcke. Ce film a été réalisé dans le cadre d’un atelier professionnel en Master 2 d’Urbanisme et d’Aménagement du territoire à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne (2021-2022), coordonné par C. Quéva et financé par le programme de recherche « Penser autrement les villes petites et moyennes » (PAVIM) de l’Université Gustave Eiffel.

Bibliographie

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DATE

Janvier 2023

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